Pensionnat Ryuuketsu V2
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Pensionnat Ryuuketsu V2

Un pensionnat horrifique dans le Japon contemporain
 
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 Hatake Saya.

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Hatake Saya

Hatake Saya


Nombre de messages : 19
Date d'inscription : 26/05/2008

Fiche de perso
Classe: Battante
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MessageSujet: Hatake Saya.   Hatake Saya. Icon_minitimeSam 21 Juin - 0:29

Prénom : Saya
Nom : Hatake
Age : 18 ans
Classe : Battante
Métier ou année scolaire : 4e année
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle

Particularité : Un tatouage au pied gauche, une étoile à sept branches.
But/Rêves : L'ambition est le fumier de la gloire.

Description physique : Saya se rattache au tempérament nerveux, et son corps le démontre bien : mouvements lents et nerveux, peau blanche, souplesse féline et corps robuste malgré sa finesse.
Il ne lui est ainsi jamais arrivé de se plaindre de son physique. Il n’est certes certainement pas irréprochable mais elle en est tout à fait satisfaite et sait en user avec une grande subtilité. Plus grande que la moyenne des femmes japonaises, cette jeune fille d’un mètre soixante-six arbore fièrement une silhouette élancée qui lui donne un air plus ou moins aérien – silhouette qu’elle a su conserver grâce à une pratique fréquente de la grimpe, son sport de prédilection. Ce côté-là est de plus accentué par ses fines jambes que la maigreur allonge encore plus.
La jeune fille est dotée d’autre part d’un charme assuré, tellement contradictoire avec les allures chétives qu’on lui prête bien souvent qu’il en devient déconcertant. Son regard d’ambre, aussi pénétrant qu’impénétrable est à lui seul le terreau de toutes ses émotions. Plus qu’une grande arme de la coquetterie vertueuse et séductrice, il est sa principale arme de persuasion. C’est qu’il exprime tout avec une extraordinaire intensité, et parfois même avec une incroyable escobarderie, chose dont elle est consciente et dont elle profite surtout sans le moindre scrupule. Ses yeux renvoient une impression enflammée de rébellion, et les traits fins de son visage - encadré d'une longue chevelure aux reflets d'un blond vénitien - une profonde lassitude, l’alliance des deux étant inhabituelle.
Pour ce qui est de son style vestimentaire, malgré son appartenance sociale pour le moins aisée, Saya s’habille d’une façon extrêmement simple et sans artifice, privilégiant les robes de couleur pâle et courtes, genre de vêtements qui lui donnent un air assez distingué. C’est dire qu’elle fait partie de ce genre de personnes qui cultivent l’élégance et la distinction dans une grande simplicité, et qui le revendiquent. Après tout n’est convaincant que celui qui est convaincu.
La jeune femme arbore donc en résumé une physionomie calme, indifférente et "inoffensive" dirait-on, chose qui n'est pas pour lui déplaire à vrai dire.


Description psychique : Dynamique - voire infatigable, possédant un unique sens de la répartie et ayant toujours le fin mot pour faire rire ou charmer, Saya est une grande sophiste. Par conséquent, ce ne serait pas étonnant de dire qu’elle voit le monde d’une façon très bilatérale : d’un côté les forts, de l’autre les faibles, ce qui compte c’est de réaliser ses désirs, peu importe s'il faudra en écraser quelques-uns sur son passage.
Il lui arrive alors même - exceptionnellement - d’exagérer chacune de ses réactions comme si elle était sous les feux des projecteurs. Stratège comme tout, la jeune fille se débrouille toujours pour que rien de ce qu’elle fait ne soit laissé au hasard. A vrai dire, elle sait user, le moment voulu, de l’art de la rhétorique pour convaincre et ainsi arriver à ses fins – le langage n’est pas son seul atout, mieux vaut avoir plusieurs cordes à son arc ; après tout, on n’est jamais à l’abri d’un imprévu.
En d’autres termes, la jeune fille ferait une excellente démagogue ou publicitaire. Capitaliste jusqu’au bout des ongles, c’est bel et bien la jouissance que lui procure la réussite individuelle et le profit qu’elle recherche. Sa volonté de fer se ressent tellement chez son vis-à-vis qu'elle peut seule emmener les plus faibles d'esprit à baisser d'emblée les bras contre elle.
Aventurière et joueuse dans l’âme, d’une incroyable confiance en elle, Saya n’hésite pas avant de relever un défi qui l’intéresse ; inutile de dire qu’elle est fera tout pour le remporter, et ce, par tous les moyens. Tout est de bonne guerre. Elle possède de plus une vision assez dogmatique de la vie, c’est au qui te double, à la roulette russe. En d’autres termes, à la question « Qu’est ce que la vie ? », la jeune fille vous répondrait en toute assurance : C’est comme le capitalisme ; fuck or being fucked. Et Saya a bien la ferme intention de ne pas se laisser emporter par cette machine infernale. « L’homme est un loup pour l’homme », d’après un certain philosophe qu’elle affectionne tout particulièrement, d’où sa méfiance légendaire pour les gens de son espèce.
Cela ne l’empêche pourtant pas de baisser sa garde avec quelques « privilégiés » comme elle les qualifie. En effet, il est peut-être dur d’avoir la confiance de Saya mais dès qu’on s’en empare, elle est démesurée et d’emblée paroxystique et passionnelle. Ses fluctuations, voilà en réalité ce qui caractérise le plus le tempérament de Saya. C’est que dans les moments les plus aliénants, elle peut se montrer d’un calme souverain tout comme elle peut faire preuve de l’hystérie la plus incontrôlable. Loin d’apparaître simplement comme un être dominé par sa physiologie, sa duplicité ainsi que son comportement parfois « ironique » lors de certaines situations laissent souvent perplexe. Personnalité imprévisible, elle est capable du meilleur comme du pire, passant de la générosité à plus naïve à la forme la plus pernicieuse du vice (vive le pléonasme o/).
C’est donc le tout ou rien avec elle. Pas de juste milieu dans cette personnalité mais un goût plus que prononcé pour les extrêmes.



Histoire :

Saya a vécu en Afrique jusqu’à exactement l’âge de quinze ans. Fille d’un diplomate japonais, dont elle a subi les nombreuses affectations vers ces terres ravagées par les épidémies et les guerres civiles, et d’une mère au foyer « Bon Chic Bon Genre » raffolant de sa création unique, elle a vécu une enfance assez particulière. Enfance dorée qui est caractérisée par deux « périodes » bien distinctes pendant lesquelles se sont forgées les différentes facettes de sa personnalité. Car dans le cas de Saya, Zola avait plus que raison : hérédité et environnement ont tous deux déterminé ce qu’elle est devenue.

La première pourrait être nommée : Période « Okaasan » ou Maman.
Bénéficiant du statut tant convoité d’expatriés japonais, les Hatake ont toujours adopté un mode de vie très occidental et pour le moins largement aisé. Ils ont ainsi procuré tout le confort possible et imaginable à leur fille unique, allant même jusqu’à lui faire vivre l’école à domicile (cette invention « marginalisante » des riches, comme en dira la jeune fille plus tard), convaincus que c’était bel et bien la meilleure protection pour leur poupée de porcelaine qui ne devait en aucun cas se mêler à la « masse », et surtout pas à la masse autochtone.
Bien que les deux parents de Saya soient en apparence d’accord sur l’éducation que devait suivre leur fille, c’était surtout la mère qui décidait de tout, profitant en quelque sorte de l’absence partielle de son conjoint. D’un amour maladif pour sa fille, elle la considérait en réalité égoïstement comme une bouée de sauvetage à laquelle elle s’accrochait péniblement pour ne pas sombrer dans la déprime la plus totale. D’ailleurs, il était rare que Saya l'entende rire franchement. Tous ses rires semblaient voilés par une quelconque impression dérangeante. Bien plus tard, quand Saya était retournée au Japon, son père lui fit savoir que sa mère était la personne la plus heureuse du monde. Elle était cette personne là avant son arrivée en Afrique. Le contraste l’avait tellement révolté qu’elle en avait pleuré. Depuis, elle a pleuré tous les soirs. Cette surprotection avait pourtant le don de repousser Saya qui fut très tôt animée par un goût prononcé pour la dissipation et le risque. Il lui arrivait alors de faire des choses complètement absurdes, allant même jusqu’à l’encontre de sa volonté, par simple esprit de contradiction, ou encore par pur vice – puisque ça mettait hors d’elle Okaasan…C’est d’ailleurs pour cette même noble raison que Saya débuta l’escalade – sans la sainte autorisation de sa mère, mais qui s’y intéressait ? – d’abord en mur à géométrie variable puis en falaise. Plus qu’un sport, c’était vite devenu une vraie machine à sensations fortes. La condition ultime était de ne jamais demander des excuses affligeantes qui pourraient remettre en cause son ego immensément enfantin, ou tout juste immense.

De sa mère, c’est de la démesure et de l’hystérie dont elle pouvait faire preuve par moments qu’elle hérita. Saya en était consciente, et ne l’en remerciait aucunement.

La seconde, si l’on s’en tient à la logique est tout simplement la période « Otoosan » ou Papa. Dès le début de son adolescence, Saya se rapprocha intuitivement plus de son père. Non pas que c’était la manifestation pure et franche du complexe d’Œdipe freudien, mais plutôt parce qu’elle commença dès cet âge-là à cultiver une admiration grandissante pour ce père qu’elle ne voyait qu’occasionnellement et qui représentait à lui seul la réalisation du rêve… américain. Parti de rien, il avait en effet réussi à franchir avec brio les différentes étapes de la hiérarchie qui gouverne la vie sociale au pays du Soleil Levant, pour arriver finalement à l’ultime grade de diplomate qui réussit. Saya apprit beaucoup rien qu’en observant son père ; elle était capable de rester assise pendant des heures à le fixer pendant qu’il entamait une conversation purement professionnelle. Tout chez lui la fascinait, de ses gestes à sa façon de parler, en passant par le tact dont il faisait preuve : Saya trouvait qu’il dégageait une classe indescriptible. C’est de là qu’elle tira son éloquence… Quant à ses capacités sournoises à la complexité quasi « dostoïevskienne », elle en était l’unique garante – une sorte de « bébé » du processus d’évolution. ^^
Très tôt, l’adolescente qu’était Saya s’intéressa à des philosophes comme Machiavel ou Hobbes – lectures pour le moins inhabituelles chez une adolescente de treize ans. Elle n’en saisissait probablement pas toutes les subtilités, mais les idées générales qu’ils défendaient s’ancrèrent facilement dans son esprit. Elle y adhérait et les mettait déjà en application à son arrivée à Tokyo…
C’est dire qu’elle avait déjà une volonté de fer. Gamine de quinze ans, elle avait obtenu de ses parents qu’elle parte vivre au Japon, prétextant un mal être qu’elle ne pouvait supporter en Afrique – ce qui n’était pas tellement faux, mais la vérité est qu’elle s’était juste fixée le défi de fuir la maison parentale à des milliers de kilomètres. Sa mère fondit en larmes ; son père esquissa un léger sourire : les deux se résignaient. Elle vivrait ainsi chez ses grands-parents et serait inscrite au lycée qu’elle choisirait par ses propres soins. Elle avait réussi. Si elle avait pu ses parents pour le bout du nez, tout était possible…

Il lui arrivait parfois de remercier de son père des atouts qu’il lui avait transmises…

Saya, venue d’Afrique, continent du soleil ardent, est placée sous le signe du feu. Depuis son retour au Japon, il lui est arrivé plusieurs fois de rester accroupie devant le feu, pensive, regardant les flammes en face, sans baisser les paupières. Et c’est bien lors d’un moment comme ceux-ci pendant lequel elle était assise au coin du feu, qu’on lui fit savoir qu’elle venait de recevoir une lettre de la part d’un certain Murazaki Akio, directeur du pensionnat Ryuuketsu. Cinq minutes lui avaient suffit pour se décider à accepter cette charmante invitation, non pour la qualité de vie qu’il proposait mais plutôt pour avoir un nouveau « terrain de jeu ». Chacun son dada.
Elle a alors l’intime conviction qu’elle est restée l’Etrangère ( malgré ses origines purement nipponnes) et son inquiétante étrangeté, symbolisée par l’Afrique lointaine d’où elle est issue, lui permet d’emporter son entourage vers un Ailleurs et un Inconnu presque déments et bien souvent perfides.



Attributs:

• Force : 4
• Vigueur : 5
• Combat : 4
• Intelligence : 6
• Volonté : 8
• Perception : 4
• Charisme : 7
• Chance : 6


Points de vie : 50

Compétences de classe :

• Littérature *
• Stratégie ***
• Persuasion **
• Séduction **
• Escalade **
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Mizuno Sakiko
Vermillion "Band2bouZ" Admin
Mizuno Sakiko


Nombre de messages : 780
Date d'inscription : 16/04/2008

Fiche de perso
Classe: Aristo
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MessageSujet: Re: Hatake Saya.   Hatake Saya. Icon_minitimeSam 21 Juin - 3:06

Rebienvue à toi Saya,

Alors d'artiste tu passes à battante, un changement assez radical. Je ne vois rien à redire si ce n'est que la fiche est fort bien construite, une biographie intéressante de par sa construction et une écriture quasi irréprochable. Une très bonne fiche de mon point de vue.

C'est donc fort logiquement que je te valide ! Le numéro de ta chambre te sera communiqué par mp sous peu.
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Hatake Saya.
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